Pousser la porte du Paradis.
Rémi est jeune, il est beau, il a tout pour plaire malgré un passé un peu trouble. Laurent et jeune, il est beau, il a tout pour plaire aussi, même s’il est un peu naïf. Leur arrivée au Paradis ne pouvait pas passer inaperçue.
Très vite, le petit groupe d’habitués qui occupe le coin du bar, à côté du vieux travelo, les adopte. Après tout, le but des sorties nocturnes n’est-il pas de rencontrer de nouvelles têtes ? Mais, accueillir un inconnu, c’est peut-être faire entrer le loup dans la bergerie… Ou, comme dirait leur mentor transformiste : « Si on savait dès le matin ce qui nous attend le soir, on mettrait un slip propre ».
« Ma chérie, tes couilles, c’est pas le tonneau d’un saint-bernard. » (Dino)
Idée originelle: S.Monod, F. Lebrun et A. Clairmont
Greg a ramassé un pauvre type qui a tout du chien abandonné : mignon, adorable et tout, mais encombrant et insupportable. Seulement voilà, il n’ose plus le foutre à la porte. Pendant ce temps, Thomas rencontre le jeune Laurent à la piscine et l’amène au Paradis pour la première fois…
Le but du jeu, c’est de faire découvrir la dynamique du groupe (composé de seulement 4 membres au début) en y introduisant un nouveau personnage. Ici, en fait, ce sont deux personnages qui sont susceptibles de rester (d’où le titre).
Synopsis et rédaction : S. Monod et A. Clairmont
Sortie : septembre 1999
Couverture : Walter Minus
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Notes de production
Une fois que nous avons trouvé le ton juste et nous nous sommes habitués aux exigences du format que nous avions défini, le plus dur a été d’élaborer la scène d’exposition. Comment introduire sept personnages principaux sans perdre le lecteur ? L’idée de la Préhistoire a découlé directement de ce problème structurel.