Archambault, famille
On ne sait pas encore grand chose de la famille de Noël sinon qu’elle doit avoir totalement disparu et que sa fortune date de l’Empire.
Beynac, famille
(créée par Sébastien Monod, Frédéric Lebrun et Alexis Clairmont, 1e app. : HJ6)
Marcel et Simone Beynac ont été très affectés par la séropositivité de leur fils Paul. Ils sont devenus très actifs dans le militantisme contre le sida. Ils comptent sur Virginie pour assurer leur descendance.
Bravachie, Principauté de
(créée par Marc-Eric Hédenne, développée par Alexis Clairmont ; 1e réf : HJ1)
Pays fictif situé sur la Mer Noire entre la Bulgarie et la Roumanie, sur les rives du Danube et les collines de la Dobroudja. Ancien état satellite de l’URSS, cette principauté minuscule a connu une spécialisation extrême de son économie sous le régime communiste : la production de crucifix et de manches de pioche. Malgré une très importante déforestation, l’industrie du manche, encore farouchement soutenue par le parti crucifiste, continue de bien se porter… mais pour combien de temps ? Depuis 1989, la monarchie bravache a été restaurée et l’état compte bien devenir le Monaco (ou à la limite l’Andorre) des Balkans. Les tensions sont rudes entre les deux partis et bon nombre de sympathisants crucifistes se sont réfugiés en Europe de l’Ouest.
Spécialités culinaires : le Klagskou (Klãgškou) galettes d’avoine au beurre de hareng ; le Bourtsch (Børtšchª) pot au feu de yack avec betteraves, salsifis géants et rutabagas ; le Bhyroutsch (Bhÿroutª) viande de yack bouillie avec purée de navets blancs ; le Plortszk (idem) lard de mouton faisandé avec pommes de terre frites au suif, et le Schponszt, ragoût indéfinissable et très mal préparé dans le restaurant bravache de la ville (HJ3).
L’accent bravache : il consiste surtout à ajouter des accents bizarres sur les mots qui restent écrits normalement. Plus l’accent du personnage est fort, plus il y a d’accents sur les mots. Dans les cas extrêmes, les /l/ et les /r/ sont inversés. (HJ3)
expressions bravaches : çã kãrachoute ! (c’est très bon/bien)
Particularité : tous les noms bravaches sont des adjectifs français en -r (ex : Pietr, Galbr, Mievr…)
Defortescu, famille
(créée par Sébastien Monod, Frédéric Lebrun et Alexis Clairmont, 1e app. HJ2)
Originaires de Constanta, Ion et Irène Defortescu ont quitté la Roumanie pour s’installer en France dans les années soixante. Il est « traditionnel », chez eux, de passer tous les conflits sous silence [HJ2].
Irène est de confession orthodoxe et très pieuse [HJ6]. Elle n’accepte pas l’homosexualité de son fils, ce qui se manifeste par un refus de se souvenir du nom de Noël, qu’elle appelle toujours Joël. [HJ2]
Ève-Marie
(créée par Sébastien Monod et Alexis Clairmont ; 1e app. HJ2)
La barmaid hétéro du Paradis. Fille du patron.
Représentant féminin de l’harmonie entre homos et hétéros.
Exit
(créé par Frédéric Lebrun, Sébastien Monod et Alexis Clairmont ; 1e app. HJ1)
Le seul autre bar gay digne de ce nom. Le patron s’appelle Alex, le serveur, Félix et le pilier, Max. On note une grande concentration de x et de k dans le nom des réguliers de ce bar. La spécialité y est le bidule, un cocktail à base de jus de goyave et de vodka servi dans un biberon.
Farid et Michael
(créés par Sébastien Monod ; 1e app. HJ1)
Deux gamins dont Greg a la charge au centre social des Tourterelles.
Un peu les Itchy et Scratchy des Heures Joyeuses. Ils passent leur temps à se martyriser mais sont complètement inséparables.
A utiliser dans les scènes qui se déroulent au centre social et, éventuellement, à chaque fois qu’on a besoin de figurants pour une atmosphère « banlieue ».
Répliques caractéristiques : « C’est pas moi » ; « J’ai rien fait » ; « Woh, m’sieur », etc.
Félix et Alex
(créés par Sébastien Monod et Alexis Clairmont, 1e app. HJ1)
Le serveur et le patron de l’Exit, généralement associés à Max, le pilier. Alex fait parfois un show transformiste où il chante Aznavour en play-back.
Folas, maître Robert
(créé par Antoine Cupial et Alexis Clairmont, 1e apparition HJ5)
Notaire excentrique, amis des patrons du Paradis et petit ami de Dino.
Il est le notaire des Heures Joyeuses.
Clone de Danny DeVito (HJ5)
Inspiration (et référence graphique) : Francis Blanche dans Les Tontons flingueurs.
Guillaume
(créé par Frédéric Lebrun, développé par Marc-Eric Hédenne ; 1e app. HJ3)
Etudiant en histoire dont Laurent est tombé amoureux mais qui s’est avéré très hétéro. Passionné d’Ufologie et d’ésotérisme. Il sort avec une beurette (Yasmina) et ses parents n’apprécient pas. [HJ3]
Jacques et Dominique
(créés par Sébastien Monod et Alexis Clairmont ; 1e app. HJ2)
Justine
(créée par Alexis Clairmont ; 1e app. HJ2)
Cliente lesbienne du Paradis. Conseillère d’orientation, elle porte des lunettes aux verres très épais.
Kat (Katherine Mull-Meyer)
(créée par Alexis Clairmont ; 1e app. HJ2 ; nom de famille révélé dans HJ5)
Lesbienne sculpturale, directrice de galerie d’art qui a une liaison secrète avec Virginie [HJ5].
Répliques caractéristiques : Drôle.
Inspirations graphiques : Tamara Lempicka
Labit, Prudence
(créée par Alexis Clairmont ; 1e app. HJ5)
Patronne de Thomas, elle est tout le contraire de son prénom.
Labit, Jocelyn
(créé par Alexis Clairmont ; 1e app. HJ5)
Frère de la patronne de Thomas. Patron d’une agence parisienne. Ami d’Ulrich. Il propose un emploi à Thomas [HJ5].
Léa Lacoste-Archambault
(créée par Alexis Clairmont ; 1e app. HJ2)
Belle-mère de Noël. (Note : on fait souvent référence à elle en tant que sa mère)
Née Léa Lacoste en 1955.
À 20 ans, elle épouse Michel Archambault. À sa mort, 2 ans plus tard, elle se retrouve toute seule avec Noël (âgé de 9 ans) qu’elle élève malgré son amertume de ne pas avoir pu hériter de la fortune familiale.
Remariée peu de temps après. 2e mari : Ludwig, divorce ; 3e mari Sacha, décédé ; 4e mari : Sylvio, décédé. Elle a toujours gardé le nom de son premier mari accolé au sien.
3 enfants.
Le Souëzec, famille
(créée par Sébastien Monod, Frédéric Lebrun et Alexis Clairmont ; évoquée HJ2, 1e app. HJ4)
Jean-Yves et Bégonia Le Souëzec sont revenus différents de Woodstock. Ils y ont conçu Greg, mais aussi changé de mode de vie. Jean-Yves, médecin, est devenu Country Joe, herboriste. Bégonia a créé un institut de soin par la boue (une révélation lors du concert mythique) mais devant le succès grandissant de son entreprise, elle a eu peur de sombrer dans le capitalisme et s’est recyclée dans les travaux manuels. Chez eux, il y avait toujours au minimum une douzaine de personnes. [HJ6] Bégonia fait des pâtisseries aux effets psychotropes saisissants [HJ2, 5].
Maillard, famille
(créée par Frédéric Lebrun, Sébastien Monod et Alexis Clairmont ; 1e app. HJ2)
Myriam, sœur aînée de Thomas. Blonde décolorée. Fan de soap operas. Conduit une Polo.
François, son ex/futur mari. Blaireau. Travaille à la maison de la culture comme homme à tout faire. Conduit une Golf.
6 enfants : Cruz, Channing, Jason, Rex, Victor et Jean-Marie (+1 en route)
Mario
(créé par Sébastien Monod et Alexis Clairmont)
Marylène, Mylène et Marie-Hélène
(créées par Alexis Clairmont ; 1e app. HJ2)
Clientes lesbiennes du Paradis. Assez camionneuses dans l’ensemble, l’une est chauffeuse de bus, la seconde est dockère et l’autre insémineuse bovine. [HJ2]
Max
(créé par Sébastien Monod et Alexis Clairmont ; 1e app. HJ1)
Habitué de l’Exit. Sorte d’anti-Dino.
Surnommé dans le premier épisode « Empereur de la subtilité » et « Dieu de la délicatesse », il est le spécialiste des commentaires déplacés.
Répliques caractéristiques : « Ah, tu me rassures, je pensais que c’était sérieux ».
Mounir
(créé par Alexis Clairmont ; 1e app. HJ1)
Beau barman du Paradis.
Considéré par la clientèle comme un dieu inaccessible ou un produit marketing. En fait, on se rendra compte un jour qu’il y a un club assez restreint élus qui ont passé la nuit avec lui et qui partagent un secret bien gardé : Mounir est tout à fait accessible quand il a bu. Il a également tendance à éjaculer précocement [HJ5].
Répliques caractéristiques : « Je te l’envoie tout de suite » ; et quand il a bu, il bloque sur une phrase anodine pendant toute la conversation (cette phrase peut changer à chaque fois), c’est là qu’on sait qu’il est mûr.
Neuf, Ghislaine
(créée par Alexis Clairmont, 1e app. HJ5)
Directrice artistique de Panel A.. Toujours en décalage par rapport au reste du monde.
Palmoine, Pierre Patrick
(créé par Alexis Clairmont, 1e app. HJ5)
Directeur général de Panel A. Coincé dans les années 80.
Panel A (Conseil)
(créé par Alexis Clairmont ; 1ère app. HJ4 )
Agence de publicité où travaille Thomas. Elle fait partie du Groupe EUROsix qui fédère de nombreuses agences d e provinces.
Le nom de l’agence vient de ses créateurs, Palmoine, Neuf et Labit (et non pas Labit, Neuf & Palmoine !)
Patrick
(créé par Marc-Eric Hédenne ; 1e app. HJ3)
Infirmier avec qui sort brièvement Greg (HJ3). Revu brièvement en compagnie de Paul, frère de Virginie (HJ4).
Paul Beynac
(créé par Frédéric Lebrun Sébastien Monod et Alexis Clairmont ; 1e ref. HJ2, entr’aperçu HJ4)
Phyllicia
(créée par Alexis Clairmont ; 1e app. HJ2)
« Femme » de Kat., asiatique aux cheveux bleus. Très froide.
Pinard, « la mère »
(créée par Alexis Clairmont, 1e app. HJ1)
Concierge chez le père de Laurent. Soupçonnée de tuer les animaux domestiques.
Pomme
(créée par Sébastien Monod et Alexis Clairmont ; 1e app. HJ2)
Didjette de l’Enfer. De son vrai nom : Sandra Chantreau.
Petite lesbienne boulotte.
Rémi
(créé par Sébastien Monod et Alexis Clairmont ; 1e app. HJ1)
Mythomane qui embobine Noël et Greg (HJ1) et couche avec Laurent (HJ4).
Rodolphe
(créé par Sébastien Monod et Alexis Clairmont ; 1e app. HJ2)
L’idiot du Paradis. Barman de son état.
C’est à lui qu’il faut faire appel pour les scènes qui comportent un personnage particulièrement stupide.
Roxane Vermont
(créée par Marc-Eric Hédenne ; 1e app. HJ3)
Ancienne camarade de Noël aux Beaux Arts. Décoratrice d’intérieur.
Ulrich
(créé par Frédéric Lebrun, 1e app. HJ5)
Ami parisien de Thomas.
Dans la mesure du possible, le faire intervenir quand on a besoin d’un personnage parisien sympathique.
[la vieille voisine]
(créée par Marc-Eric Hédenne et Sébastien Monod, 1e app. HJ 8 ?)