Le meilleur bar gay de province

Logo Les Heures Joyeuses
  • LE PARADIS
  • 6, place de la Mare au Diable
  • Date d’ouverture : 1994
  • Propriétaires :
    • Jacques est un ancien mannequin un peu dandy, un peu vieux beau (Roger Moore entre Amicalement vôtre et James Bond). La bonne quarantaine.
    • Dominique est plus du genre « chemise de bûcheron », il est plutôt bien en chair, de type méridional (décrit comme le bonhomme de la pub Ducros [HJ2]). Il a été marié et a une fille qui travaille au bar. La bonne quarantaine également.
  • Employés :
    • Mounir, serveur très beau, très sympathique, très professionnel. Français d’origine algérienne.
    • Rodolphe – l’idiot du Paradis
    • Ève-Marie – fille de Dominique (le patron)
    • Mario, le videur
    • D.J. Pomme. Sandra Chantreau
  • Heures/jours d’ouverture : ouvert tous les jours sauf le 24 décembre été : 14.00-02.00 ; hiver : 18.00-02.00
  • Tarifs :   à déterminer, mais en euros dès le premier épisode
  • Cocktail maison : [à déterminer]

 

  • L’immeuble est un vieil hôtel particulier du centre historique de la ville. La façade du bar a été ornée de sept arches en bois entre les piliers desquelles s’ouvrent six fenêtres et la porte d’entrée — une double porte vitrée (un peu en retrait par rapport au trottoir) qui s’ouvre vers l’extérieur et dont les poignées représentent chacune un serpent avec une pomme dans la gueule. Ces portes sont gardées à partir de 22.00 par un videur assis sur un tabouret de bar. Une enseigne, éclairée par deux statues d’anges avec un spot dans la bouche, établit le nom du bar : « Le Paradis ». En été, une terrasse est ouverte de 14.00 à 00.00 sur la place de la Mare au Diable, une petite place plantée de platanes, avec une fontaine représentant l’Enfer et les péchés capitaux en son centre.
  • « Le Paradis » ; salle principale, niveau rue (environ 100m²) Le bar s’étend sur presque toute la longueur de la pièce, à gauche, quand on entre (il est en bois et métal brossé). En son milieu trônent les bières pression. Il forme un coude à chaque extrémité. Le renfoncement formé par celui qui se trouve près de l’entrée est la place réservée à Dino. Il y a son tabouret au bar et le piano droit où il s’installe à sa convenance pour pousser la chansonnette. Deux à trois personnes peuvent aisément s’installer en sa compagnie. L’autre renfoncement est censé être une zone de libre circulation pour les serveurs, mais il est souvent encombré par un ou plusieurs clients qui y voient la meilleure place pour discuter, soit avec le personnel, soit avec les clients qui viennent déposer leur manteau au « vestiaire », une petite salle fermée d’une dizaine de m² qui sert également de coulisse pour les spectacles. A chacun des coudes du bar, il y a une lampe kitschissime représentant un ange joufflu. A côté de Dino, trône le seau à champagne (toujours garni) sans lequel il ne survivrait pas. Sur le mur, derrière le bar, il y a tout l’assortiment habituel de bouteilles et de verres sur une série d’étagères en verre (les montants sont en bois). Côté Dino, il y a d’abord la porte qui mène à la remise et aux appartements du patron, Côté vestiaire sur le plan de travail composé par les réfrigérateurs, il y a une machine à margaritas. Au fond de la salle, une petite scène s’étend sur environ 10m² entre le vestiaire et l’escalier du fond. L’éclairage y est minimal mais assez performant. La sonorisation laisse parfois à désirer (la régie aussi se trouve dans le vestiaire). Dans le renfoncement entre la scène et l’escalier du fond, il y a un flipper. Sur le mur, au fond de la scène, il y a un grand tableau (peint par un artiste local) qui représente le jardin d’Eden et Adam, tout seul ( ? en tout cas sans Eve) avec le serpent sous le pommier. [autres détails à définir] Au centre de la pièce, il y a long zinc en forme de S, son dessus est en métal brossé, son corps est peint en couleurs assez vives pour représenter un serpent tenant une pomme dans sa gueule. Le long dur mur, en face du bar, il y a un long banc d’abbaye gothique à cinq « niches » ornées d’ogives où l’on peut s’asseoir à deux en serrant bien. Devant, il y a cinq minuscules tables basses et quelques petits tabourets. Cette zone est quelque peu séparée du reste du bar par une série de piliers de soutènement. Elle est bordée de part et d’autre par les escaliers qui descendent au sous sol.
  • « Le Purgatoire » ; niveau –1 En descendant l’escalier du fond, on peut admirer une statue du Christ en short sur une planche de surf. Il vaut mieux ne pas se laisser distraire par cette œuvre d’art car l’escalier est très abrupt. Au pied de cet escalier, on se retrouve face à la porte du « Purgatoire », c’est à dire les lieux d’aisance (un cabinet et un mur d’eau). A droite des lavabos, une porte portant l’inscription « Fruit défendu » mène à la cave/réserve où on change les fûts de bière et au local du personnel.
  • « L’Enfer » ; espace discothèque, niveau -1 (environ 60m²) Si on descend à l’Enfer par l’escalier du fond, on se retrouve dans un espace assez dégagé (à côté de la porte du « Purgatoire »). Sur la gauche, il y a la « chaire » de la didjette, une véritable chaire d’église en bois sculpté. Au centre de la pièce, le long du mur qui sépare cet espace de la réserve, il y a une piste de danse d’une quinzaine de m², couverte de plaques de métal cuivré. Le long du mur opposé court une petite étagère destinée à poser les consommations. Sous le deuxième escalier, un petit bar à shooters (tenu par Ève-Marie) aide garder l’ambiance chaude et vibrante. « L’Enfer » n’est ouvert que du vendredi au dimanche à partir de 22.00.